
© Adobe Stock
Si avant le premier tour des élections municipales, le 15 mars 2020, plusieurs médias s’interrogeaient sur le point de savoir à qui allait profiter l’abstention prévisible des électeurs âgés, une fois passé le second tour, le 28 juin, la tentation est venue pour des candidats battus de transformer le phénomène sociologique réel en argument juridique au soutien d’une demande d’annulation des opérations électorales.